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GEORGES HOBÉ (1854-1936) ARCHITECTE DÉCORATEUR

par Raymond Balau

 

L’ART DE TUER UNE ARCHITECTURE…

26 12 2025

MASCARONS

Bien sûr « en toute légalité », avec l’aval des autorités en principe concernées, le grand auvent planté dans le plateau du Théâtre en plein air, avec son élégance un peu sixties, reste à quelques centimètres de la façade de Georges Hobé… L’essentiel n’est pas là. Dans le dessin géométral, le double « T » semble participer des lignes de force… à ceci près que le superposition nie la dimension spatiale et décorative des colonnes jumelles de part et d’autre, que surmontent les éléments les plus intéressants et significatifs de l’édifice. Si la façade au trait semble respectée, les effets 3D avec ombrage révèlent l’ineptie et la violence de l’extension. Mais de quoi cette ombre portées est-elle le symptôme ? D’une incompréhension flagrante de ce que pouvaient être les arts décoratifs modernes vers 1910 : côté Stade et côté Théâtre, les chapiteaux des colonnes jumelles sont parmi les plus inventifs de cette période, leur architectonique au dessin sûr amenant avec maestria les volumes qui les surplombent, ponctués des mascarons, sortes d’acrotères portant des volumes savamment sculptés de formes géométriques lisibles dans trois directions, conçus pour des interactions symboliques et immémoriales avec tous les spectacles qui pouvaient être donnés là. Ces superbes chapiteaux et surtout les agencements qu’ils supportent sont désormais cachés par cette lame de béton qui monopolise l’attention. L’effet initial, conçu à l’échelle de l’amphithéâtre, reposait sur le savant enchaînement des colonnes cannelées dont les chapiteaux puissamment et sobrement structurés mettaient en évidence les mascarons de la Comédie et de la Tragédie, intégrés aux avancées de l’entablement surmontés de pinacles avec amortissements, blocs-boutants assurant l’assise du fronton, l’ensemble ponctué de corbeaux et de gouttes, dans un savant jeu de courbures et de prismes orthogonaux en dialogue avec les parages. Toujours gênante par beau temps, du fait d’une exposition au sud-ouest, l’ombre portée de la plaque de béton l’emportera sur le galbe des lignes en PH, surimposant sa présence aux ombres portées plus discrètes et plus subtiles de l’architecture de Georges Hobé. Plus autoritaire que respectueux, ce masquage est le signe d’un opportunisme assez courant : on garde tel quel ce qui ne gêne pas, on adapte et on transforme le reste, voire on le supprime. C’est ce qui est arrivé au Nouveau Kursaal (Casino) et au Promenoir de Meuse. L’ampli médiatique ânonnera sans doute les nécessaire concessions à la préservation de l’ensemble, classé au titre de monument, ce qui invite à s’interroger sur le sens d’une telle « protection » quand elle s’accompagne ici et là d’amputations et de greffes pas toujours au diapason du projet initial. Il est possible de voir dans ces transformations qui ne disent pas leur nom la logique d’un pragmatisme de la réaffectation, mais il aurait sans doute été plus ambitieux de ne pas restreindre les modifications à ce qui permet la réutilisation des lieux, en portant atteinte aux qualités évidentes de l’œuvre, et de travailler le projet pour mettre en évidence le meilleur de l’architecture de Georges Hobé en y pratiquant des retouches conduisant à en apprendre davantage à son propos et même à en exalter des virtualités. Si l’effort consiste à ne pas trop contrarier ce qui est consigné dans les notices patrimoniales, alors le bien fondé des adaptations est discutable. Reste que ce auvent voulu monumental n’est doté d’aucun équipement technique pour l’ingénierie de plateau, ce qui invite à s’interroger sur ce qu’il faudra ajouter au dispositif en fonction de spectacles. Et pendant ceux-ci, les mascarons tenus hors-jeu pourront toujours observer, par-dessus le auvent, qui arrive en retard par le haut des gradins… Une photographie en noir et blanc conservée dans le Fonds Georges Hobé au CIVA détaille la modénature du cadre de scène côté cour, avant que le plateau soit équipé d’une couverture. Cette idée a été abordée en 1957 par les architectes Jules Wabbes, André Jacqmain et Victor Mulpas mais elle ne s’est pas concrétisée. Une bâche provisoire a été posée en 1991, qui a subi très vite des problèmes techniques, et c’est en 1994-1995 qu’une structure en poutres légères en treillis métallique avec étanchéité en bardage de tôle, construite de telle sorte que la rive arrière coupait en oblique les visages des deux mascarons ! Cette construction installée aucun souci de l’architecture de Georges Hobé est donc resté en place pas loin de trois décennies, jusqu’au présent chantier… qui prolongera de quelques autres décennies l’impossibilité de voir correctement les figures de la Comédie et de la Tragédie, c’est-à-dire dans leur décor primordial. Cette forme de censure nie l’intégrité patrimoniale d’un bien pourtant reconnu Patrimoine immobilier exceptionnel de la Wallonie… Donc en régime d’exception…

 

« ABRIBUS SIGNÉ HOBÉ » ?

30 11 2025

ABRIBUS

« ICI ! » … où ça ? Peut-être serait-ce « chez nous » ? À moins que l’adverbe soit à entendre comme un « là », désignant cet endroit de l’accotement où il remplace un abribus existant ? Un autre emplacement avait été désigné et accepté le 5 mai 2022, non loin mais sur un cheminement que le Pavillon d’Entrée aurait pu réactiver car délaissé. Ce choix était plus intéressant car il s’agissait d’une allée de l’extension de l’Arboretum du Palais forestier, quand a été construite la voirie desservant ce qui avait été la concession de Namur-Citadelle. Le site a d’ailleurs fait l’objet d’un plan de Georges Hobé. Cette option exigeait un plan d’abords reflétant une réflexion sur l’inscription dans le paysage d’un édicule tout sauf neutre. Le choix qui a prévalu court-circuite toute velléité d’aménagement en résonance avec l’esprit du travail de Georges Hobé vers 1910. Il prend désormais place sur le bas-côté du circuit des bus, et non sur une promenade à travers les arbres. En évitant cet « inconvénient », à savoir une étude d’architecte et/ou de paysagiste, la configuration tourne au ridicule ; le magnifique panneau sculpté « ENTRÉE » désigne désormais un talus. Ce pavillon n’a pas été pensé comme lieu d’attente. Georges Hobé a imaginé des abris dotés de bancs pour Bouillon ou Spa, par exemple, le long de lignes vicinales, même pour Namur puisqu’un premier projet, dans une autre implantation, devait combiner une halte sur la ligne vers Wépion et un guichet pour le nouveau Kursaal, avec locaux servants, le tout sous une toiture en harmonie avec ce Kursaal. Le programme de celui qui a été construit, réduit à sa plus simple expression, ne commandant que le passage, est donc intégralement nié. Il a été dessiné pour ponctuer un cheminement dans un ensemble urbain d’ampleur, composé de plusieurs types d’espaces publics dont il assurait l’articulation, subtilement incorporé à la clôture du nouveau Kursaal, pour y donner accès, avec à la clé une perspective ne manquant pas d’allure. Le jardin face au pont de Jambes et le Promenoir de Meuse étaient ainsi reliés à ce nouvel équipement de loisirs, pour former un ensemble unique en lieu et place du square Baron qui avait pris la place de l’ancienne Porte de La Plante. Ces trois phases de l’évolution urbaine ont d’ailleurs donné à ce petit pavillon une charge historique non négligeable. D’une certaine manière, il est lié aux grandes transformations des abords de la ville, dans la conversion du militaire au civil, ce qui permettait d’espérer qu’il en aille de même pour sa réédification. Cette dimension a été gommée dans la précipitation qui a conduit à l’affectation en abribus LETEC, procédure sans permis, en lui assignant par contre la fonction qui n’avait pas été retenue à l’origine. Du révisionnisme ? La disparition du jardin du nouveau Kursaal avait ravalé le Pavillon d’Entrée au rang de support d’enseigne lumineuse devant un parking aménagé sans égards pour l’architecture de Hobé. Aujourd’hui, cet endroit accueille un autre parking, à deux niveaux masqués côté Promenoir de Meuse par un voile de béton… « verdurisé » au moyen d’une « végétation » en matière plastique. Pas mieux. Cette opération menée en parallèle aux extensions du Casino, phagocytant le Kursaal de Hobé, impliquait la suppression du pavillon plus que centenaire, dès lors compté dans le volume des démolitions, c’est-à-dire noyé dans la masse de tout ce qui devait disparaître. La suite à partir de 2019 figure dans le narratif collé à l’abribus, puisque la Ville rafle la mise en s’attribuant la com ; un bel oxymore circule : « style mosan moderniste ». Le Pavillon d’Entrée est privé du magnifique pilastre qui délimitait le passage carrossable mais il est doté d’un banc en faux-vieux venu de nulle part… Il est peut-être utile de rappeler que la chose a été possible parce que les périmètres de classement comme sites, celui de la Citadelle et celui du pont de Jambes, jointifs sur l’axe longitudinal du pavillon de 1910, avaient été tracés de manière à l’exclure des deux ! Une autre manœuvre d’évitement semble donc aller de soi aujourd’hui, à l’encontre cette fois des principes de base de l’architecture de Georges Hobé dans ses relations au paysage. Bref, il est garé d’une manière qui escamote tout effort d’explicitation des arguments ayant conduit à son transfert, d’un endroit précis à un autre qui aurait dû l’être, documents historiques à l’appui. L’emplacement bis adopté positionne le Pavillon par lequel on n’entre plus nulle part… un peu plus près du double Pavillon d’Entrée au sommet du Théâtre en plein air — dont on s’obstine à verduriser l’appellation —, ce qui rend la comparaison assez terrible pour l’abribus. L’ampleur et l’élégance de cet accès aux gradins et aux passages latéraux, avec un subtil traitement des transitions et des ruptures d’échelle entre la voirie de desserte (alors dotée d’un tramway) et l’espace-temps privilégié des spectacles est un petit chef-d’œuvre, comme l’était le Pavillon d’Entrée du nouveau Kursaal avant l’empire du tout à la bagnole. Hélas, cette implacable confrontation est sans appel… le transplanté devenu un sordide contre-exemple s’ajoutant à la liste des bévues infligées à l’héritage de Hobé à Namur, au petit jeu des amputations et des greffes pas trop regardantes, frappées d’amnésie et indifférentes à ce que signifie, prise à la lettre, l’expression « à l’identique »…

MOSAN MODERNISTE

à suivre…

Pour appréhender le contexte des Grands Travaux confiés à Georges Hobé de 1905 à 1914, il est utile de se reporter aux SQOPIQ de ce blog à l’onglet « 3•NAMUR » et à l’article suivant : Raymond Balau, route « Merveilleuse » à Namur... pourquoi pas Georges Hobé ? • Projet écarté en 1906 pour celui des Ponts et Chaussée, dans Annales la Société archéologique de Namur (Tome nonante-huit, 2024, pp. 236-267.

 

 


 

La maison du barragiste à Fétinne… une œuvre de Georges Hobé

Au centre de l’Exposition universelle de Liège 1905

Parution du Bulletin de l’Institut archéologique liégeois Tome CXXVIII – 2024, pages 271 à 302.

06 07 2024

Diffusion BIAL baragiste 26 08 2021*

Il s’en est fallu de peu en juillet 2021, que disparaisse la maison dite du barragiste, qui ponctue le confluent de l’Ourthe et de la Meuse à Liège depuis 1905… dans cette configuration, car elle existait auparavant. L’article retrace l’enquête qui a conduit à Georges Hobé, par une sorte de hasard révélant un plan décisif rangé… parmi ceux du pont de Fétinne. Le contexte urbain et viaire était d’autant plus intéressant à cet endroit qu’il a fait l’objet d’une profonde mutation en vue de l’Exposition universelle de 1905. Sept millions de personnes ont circulé dans les parages immédiats de cette habitation de service remodelée par Georges Hobé après que le projet ait été retiré à Charles Soubre. De nombreuses photographies de cette réalisation ont circulé à l’époque, mais aucune assortie du nom de l’architecte. En près de douze décennies, divers dangers n’ont pas manqué de menacer la petite maison pittoresque, mais elle est toujours là, appelant sans doute une restauration et une mesure de protection.

 

Posté le 23 08 2023… Il y a vert et vert…

Il y a nature et nature. Le camouflage verduriste du nouveau parking du Casino de Namur met en lumière l’absence manifeste de composante écologique dans le projet et dans les autorisations afférentes. Au premier comme au second degré, ce constat fait froid dans le dos. En matière d’architecture et d’espace urbain, la dévalorisation institutionnelle « progresse », avec pour bras armé le « moratoire sélectif » : les faits historiques relus à la découpe.

SQOPIQ 012 posté le 23 08 2023 : [ VERDURISEZ…  VERDURISEZ… ] : ICI

Le cycle des 12 SQOPIQ consécutifs au projet porté par les Archives de l’État et les Archives photographiques namuroises se « termine ». Georges Hobé a-t-il modernisé Namur ? La question suscitera encore pas mal d’investigations sans doute plus intempestives, en sondant la matière mésestimée et formidablement complexe du XXe siècle… dont les contradictions n’ont pas fini d’impacter le suivant…

NEWS

  • Que deviendra le petit pont sur la route des Canons, vestige le plus ancien des aménagements touristiques des hauteurs de la Citadelle de Namur ? Quelques éléments de réflexion : ICI
  • Découverte récente : la transformation de la maison du barragiste pour l’Exposition universelle de Liège 1905 est une œuvre de Georges Hobé ! Elle se trouvait au beau milieu du site restructuré grâce à la construction du pont de Fragnée et à la rectification de l’Ourthe. Tenants et aboutissants dans l’édition 2024 du Bulletin de l’Institut archéologique liégeois (BIAL).

 

GEORGES HOBÉ A-T-IL MODERNISÉ NAMUR ?

COUVERTURE APN AEN NAMUR

Communiqué de presse : ici

Résumé des épisodes précédents :

SQOPIQ 011 posté le 23 07 2023 : [ JARDIN-SQUARE SANS CASEMATE ] : ici

SQOPIQ 010 posté le 23 06 2023  [ ENCORBELLEMENT AD AQUAM ] : ici

SQOPIQ 009posté le 23 05 2023  [ CHAMP-CONTRECHAMP ] : ici

SQOPIQ 008 posté le 23 04 2023 : [ CONFLUENCE DES PASSÉS ] : ici

SQOPIQ 007 posté le 23 03 2023  [ LONGTEMPS, LE « MUR HOBÉ »… ] : ici

SQOPIQ 006 posté le 23 02 2023 [ CLASSER HOBÉ & BASTIN ] : ici

SQOPIQ 005 posté le 23 01 2023 : ici

SQOPIQ 004 posté le 23 12 2022 : ici

SQOPIQ 003  : [ PHASE TEST 2023 ] : ici

SQOPIQ 002 : [ HOBÉ APRÈS 2022 ] 30 10 2022 : ici

SQOPIQ 001 : [ x ] 30 10 2022 : ICI

 

• Le livre Georges Hobé a-t-il modernisé Namur ?  est désormais consultable à la bibliothèque du CIVA [ cote (493)72(092) HOB-BAL ].

 

• Marc DUBOIS (architecte Hon FRIBA) publie sur son website un compte-rendu à partir de la visite de l’exposition et la lecture du livre, sans oublier une promenade in situ. Il insiste aussi sur l’erreur persistante d’un passage supposé direct de l’Art nouveau à l’Art déco. Ce raccourci gomme les recherches des architectes dans la décennie qui a précédé la Première Guerre mondiale ! Quelques traits de la démarche de Georges Hobé sont mis en évidence :

-ensemblier devenu architecte

-artisan non contaminé par une formation académique

-réalisations dans toute la Belgique

-une référence pour la décennie 1905-1914

-familier du Système Hennebique

Texte sur le website de Marc Dubois : ici

Introduction : « Wanneer begint de “moderne” architectuur van de 20ste eeuw in België? Vaak wordt het jaar 1893 aangegeven, het begin van de Art Nouveau in Brussel. Anderen zien de start na WO I met de bouw van de vele tuinwijken. Maar al te vaak leest men dat na de Art Nouveau de tijd komt van de Art Deco. Dit is absoluut onjuist, waardoor de periode tussen ongeveer 1905 en 1914 veel minder belangstellig kreeg van historici. Het is echter een boeiende periode met andere stilistische kenmerken, een proces van versobering en een toenemende fascinatie voor de nieuwe mogelijkheden van het gewapend beton voor zowel de burgerlijke bouwkunde als voor de constructie van grotere gebouwen. »

Ce texte sera repris prochainement sur le site de DoCoMoMo Belgium (International working party for DOcument and COnservation of Buildings, sites and neighbourhoods of the MOdern MOvement).

 

En guise de codicille, le 2 novembre, le lien vers l’article de Marc Dubois posté en F/NL sur le site de DoCoMoMo : ici

 

RTBF 13H

• Georges Hobé sous un autre angle…

…sans lien avec l’exposition ou le livre, sur un schéma bizarre puisqu’il est question de l’architecture post-WWII, le travail de Georges Hobé occupe le premier tiers d’un sujet passé le 23 10 2022 dans le 13 HEURES de la RTBF. Le reportage d’Arnaud Pilet et Maurizio Sadutto met en scène Thomas MOOR (Cellule Architecture FWB) et Pablo LHOAS (directeur ENSAPL) pour un survol de l’architecture du XXe siècle en Wallonie, à partir du cas de  Namur. La référence est le Guide FWB Namur-Luxembourg, et l’occasion est l’annonce de la démolition voulue par la Ville de Namur du magasin C&A, œuvre de Stynen et De Meyer en 1969 (absente du propos). Les apports de Georges Hobé à Namur sont présentés comme d’un précurseur, tant du côté du complexe du Stade des jeux & du Théâtre en plein air que du promenoir de Meuse, auquel se raccordent les ouvrages d’approche et le garde-corps du pont des Ardennes, œuvres de Roger Bastin.

  • AUVIO : ici       [ à partir de 13:53 ]

 

 

SQOPIQ H001 : [ DEVANTURE HOBÉ ] – 08 10 2022 : ici

Pour en savoir plus…

Boukè (1), « Exposition », Sophie Broodcoorens, 23 août 2022 : ici

RTBF La Première, « Façons de voir », Christine Van Acker : 1er et 25 septembre 2022 (« La collection Architecture de septembre 2022 ») [ de 2:20 à 22:17, avant Lucien Kroll ] : ici

Boukè (2), « Oxygène », Joëlle Janssens : 22 septembre 2022 [ de 9:05 à 14:00, après Annveronike Roland ] : ici

RCF, « Culture et vous », Grégory Clesse : 3, 4, 5 et 6 septembre 2022 : ici

RTBF La Première « Un jour dans l’histoire », Laurent Dehossay, 4 septembre 2022 : ici

 

PLAN DU SITE

1. INVENTAIRE

L’inventaire de l’œuvre bâti ne comporte actuellement que la partie « Bruxelles ». Un inventaire général, portant sur toute la Belgique, est en chantier.

2. EXPOSITIONS

Les expositions auxquelles Georges Hobé a pris part sont un sujet en soi, plus vaste que ce qui en est souvent dit.

3. NAMUR

Après une trop longue léthargie…

• Processus de rénovation du Stade des jeux & du Théâtre en plain air

• Actualisation de la villa Golenvaux (« La Feuillée ») à flanc de Citadelle

• Hypothèse de la protection patrimoniale du promenoir de Meuse

• Réédification du Pavillon d’entrée du Casino à proximité de l’entrée supérieure du Théâtre en plein air

4. DIVERS

Aperçu de plusieurs études en cours au travers de résumés abordant des questions souvent laissées de côté.

5. RECHERCHES

Un certain nombre de réalisations semblent relever du travail de Hobé… en l’absence (momentanée) de preuves formelles.

6. BIBLIOGRAPHIE

Il ne s’agit pas d’une bibliographie générale, mais des références liées aux recherches inhérentes à ce blog.

 

 

 


[    études ciblées sur demande   ]